Semaine 40 : 2 semaines avant le grand déménagement

Bonjour à toutes et tous,

je vous rappelle que l’Escapade sera « hors les murs » les 22 et 23 octobre pour la 22ème édition du salon du livre jeunesse « Frissons à Bordères ».
J’ai le plaisir d’accueillir sur mon stand Claire Garralon, Philippe Godard et H Tonton (le dimanche, nous serons rejoints par Constance Dufort).
La librairie sera donc fermée ce samedi 22 octobre.
Mais elle ne rouvrira que le mercredi 2 novembre à la nouvelle adresse, au 6 Place de la Cathédrale.
Si vous souhaitez apporter la moindre aide pour ce déménagement (manutention, prêt de chariots et autres diables …), n’hésitez pas à me le dire : une liste de diffusion d’infos par mail est en cours de constitution ; je profite de cette occasion pour remercier les premières et premiers volontaires.

En cliquant sur ce lien, vous pourrez réécouter la chronique du 5 octobre sur Radio Oloron.
Après les photos ci-dessous, vous trouverez pour les plus jeunes un concours de dessin organisé par la toute jeune maison d’éditions de Morlanne, Poids Plume, à l’occasion de la sortie de « Le vieil homme et la mare » de Max Ducos. Déposez vos dessins à la librairie, à la nouvelle adresse, entre le 02 et le 30 novembre.

Cette semaine, je vous conseille de lire, un roman « brûlant » d’actualité, essentiel et passionnant qui nous fait sentir intimement la tragédie d’une guerre, qui est aussi culturelle : « l’archiviste », le troisième roman de Alexandra Koszelyk, qui vient de paraître aux Forges de Vulcain (un autre roman à destination des ados est également paru chez Robert Laffont).

Présentation de l’éditeur : « K est archiviste dans une ville détruite par la guerre, en Ukraine. Le jour, elle veille sur sa mère mourante. La nuit, elle veille sur des œuvres d’art. Lors de l’évacuation, elles ont été entassées dans la bibliothèque dont elle a la charge. Un soir, elle reçoit la visite d’un des envahisseurs, qui lui demande d’aider les vainqueurs à détruire ce qu’il reste de son pays : ses tableaux, ses poèmes et ses chansons. Il lui demande de falsifier les œuvres sur lesquelles elle doit veiller. En échange, sa famille aura la vie sauve. Commence alors un jeu de dupes entre le bourreau et sa victime, dont l’enjeu est l’espoir, espoir d’un peuple à survivre toujours, malgré la barbarie ».

En apprendre un peu plus sur l’Ukraine, découvrir son histoire, ses artistes et sa culture à travers la résistance silencieuse de cette archiviste.
Souvent malmené au fil des siècles, le peuple ukrainien semble avoir enfoui au plus profond de chaque habitant, de chaque famille, les germes d’une éternelle renaissance.
Un roman à soutenir et en espérant qu’Alexandra Koszelyk, qui semble fréquenter assidument les Pyrénées, puisse venir en 2023 pour nous en parler à la librairie.

Bonne semaine

Cédric

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