Bonjour à toutes et tous,
après cette belle rencontre avec Chris Offutt vendredi dernier à la Médiathèque des Gaves, dans le cadre d’un Aller-Retour dans le Noir, le prochain rendez-vous « hors les murs » de la librairie se déroulera à Bordères les 22 et 23 octobre pour la 22ème édition du salon du livre jeunesse « Frissons à Bordères ».
Grâce aux bénévoles de cette magnifique association, j’ai le plaisir d’accueillir sur mon stand Claire Garralon et Philippe Godard (le dimanche, nous serons rejoints par Constance Dufort).
La librairie sera donc fermée ce samedi 22 octobre.
Mais elle ne rouvrira que le mercredi 2 novembre à la nouvelle adresse, au 6 Place de la Cathédrale.
Si vous souhaitez apporter la moindre aide pour ce déménagement (manutention, prêt de chariots et autres diables …), n’hésitez pas à me le dire : une liste de diffusion d’infos par mail est en cours de constitution ; je profite de cette occasion pour remercier les premières et premiers volontaires.
Mes « chroniques » sur Radio Oloron ont repris en septembre : vous pouvez réécouter celle du 07 et celle du 21. La prochaine aura lieu ce mercredi 5 octobre vers 9h15 en direct sur le 89.2 FM.
Pour cette semaine, je vous suggère de lire le nouveau roman de Pierre Adrian « Que reviennent ceux qui sont loin » chez Gallimard.
Ici en Béarn, on se souvient forcément du roman de Pierre Adrian « des âmes simples » qui prenait pour cadre la vallée d’Aspe et le curé Moulia de Sarrance.
Pierre nous revient avec un roman lumineux et sombre qui prend pour cadre cette fois-ci la Bretagne.
Présentation de son éditeur : « Après de longues années d’absence, un jeune trentenaire retourne dans la grande maison familiale le temps d’un mois d’août. Dans ce décor de toujours, au contact d’un petit cousin qui lui ressemble, entre les après-midi à la plage et les fêtes sur le port, il mesure avec mélancolie le temps qui a passé.
Chronique d’un été en pente douce qui commence dans la belle lumière d’août pour finir dans l’obscurité, ce roman évoque avec beaucoup de délicatesse la bascule de l’enfance à l’âge adulte« .
J’ai aimé ce roman pour l’écriture, d’abord. Un style assez classique, loin de l’écriture presque orale de beaucoup de romans contemporains.
Nous serons nombreux à nous retrouver dans cette histoire familiale, dans ces maisons de famille presque vides toute l’année et qui se re-remplissent le temps des vacances estivales, où se côtoient trois générations. Avec cette impression de rejouer sans cesse les places et les rôles de notre enfance.
Une chronique du temps qui passe, nostalgique, tendre et dure à la fois.
En vous souhaitant de passer une agréable semaine
Cédric














Salut Cédric, si mon planning le permet, je suis prête pour la manutention . J’attends les dates. Bonne journée
Anne
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