Merci

Encore une belle édition de la Fête de la librairie indépendante samedi dernier : merci à toutes celles et tous ceux qui ont poussé la porte de la librairie à cette occasion.
Par votre présence, vous manifestez à votre attachement à L’Escapade, mais également à toutes ces librairies indépendantes qui maillent notre pays. La France est un des rares pays à avoir un réseau aussi dense de librairies (le seul, peut-être) quoiqu’en disent les partisans de l’individualisme, de la livraison à domicile et de l’immédiateté dans tous les domaines, souvent au détriment du tissu commercial de nos villages, de nos quartiers et de nos centre-villes, qui participe pourtant grandement à la vie collective, sociale, culturelle, et aux rencontres physiques, bien plus que les grandes plateformes du Web mondial qui pleurnichent quand la collectivité leur demande de participer, par la fiscalité notamment, à la société.

En vous offrant ce livre spécialement édité chaque année et cette fleur, c’est aussi pour nous, libraires, l’occasion de vous remercier pour votre fidélité et votre soutien tout au long de l’année.
J’en profite pour remercier également Camille Rebolle-Laborde de la Ferme Casau bon à Lasseube, d’avoir grandement participé à la réussite de cette journée, avec ses fleurs.
Comme tous les ans, je vous ai pris en photos pour montrer la biblio-diversité réelle dans les librairies : l’album photo est à retrouver ici (normalement, même si vous n’avez pas de compte sur ce « réseau social », vous devez pouvoir regarder les photos).

Rendez-vous ce vendredi 3 mai à 18h30 pour « L’escapade de Christiane Laborde« , à l’occasion de la parution de son nouveau roman « Elle et la Dame de Brassempouy » aux éditions Terres de l’Ouest. Ce récit est l’ébauche d’un rêve éveillé entre la narratrice et l’artiste du Paléolithique ayant sculpté la Dame de Brassempouy, un véritable chef-d’œuvre intemporel dans de l’ivoire de mammouth : la Dame à la capuche / la Dauna au capulèt
De la rencontre aux confidences, une profonde affection se noue entre ces deux femmes que 30 000 ans séparent.
« Elle, c’est une amie, une sœur des âges lointains, d’une époque où les hommes vivaient au cœur d’une nature sauvage, tantôt généreuse, tantôt cruelle, et où se dessinait, à coups de silex et d’os, le merveilleux, l’imaginaire, l’Art préhistorique.
Une balade dans ce temps perdu où l’homme n’était qu’un voyageur sans bagage, ne laissant derrière lui que de rares traces… Mais quelles traces !
Qu’est-ce qui inspira la créatrice de la Dame de Brassempouy ? Et qui était cette artiste ? C’est tout le propos de ce livre, sorte d’invitation au voyage, en ce temps lointain des premiers hommes.
« 

et ensuite, viendra le temps du Festival du livre d’Oloron Sainte-Marie qui se déroulera cette année à l’espace Jéliote les samedi 18 et dimanche 19 mai. Je vous en parle dans la prochaine lettre d’informations, mais d’ores et déjà, vous pouvez retrouver toutes les informations sur la page de Livres sans Frontières.

Bonne semaine

Cédric

Cet article a été publié dans AGENDA, dédicaces, salon, sélection hebdomadaire. Ajoutez ce permalien à vos favoris.

Laisser un commentaire